En résidence du 1er au 3 octobre.
Concert aux Instants Chavirés le 3 octobre dans le cadre de la soirée Gravats, avant de s’envoler vers Budapest pour un concert le 4 !
© Hazam Modoff
magie rose, entrelacements ratés, crooners enrhumés, orgues divinatoires, kicks invisibles
depuis dix ans, ils ne parcourent presque pas le monde
en 2008, ils se nourrissaient exclusivement de bières et de crackers
en 2018, leur régime alimentaire se divise à part égales entre vin bio et veggie bowls trop chers
des sorties chez baadm, alter, tanzprocesz, spleencoffin…
https://operamort.bandcamp. com/
https://www.chronicart.com/ musique/opera-mort-dedales/
https://baadm.org/releases/opera-mort-film-works/
De manière un peu moins poétique et plus factuelle, on dira qu’Opéra Mort, c’est Elg (Gravats, Nashazphone…) et Jo (du label Tanzprocesz, qui joue en solo sous le nom de Fusiller). il y a quelques années, ils jouaient tous les deux en trio avec Ghedalia Tazartes (Les Reines D’Angleterre, 2 très bons LPS sur Bo Weavil).
Et on terminera par une coupure de presse, signée Julien Bécourt dans Chronicart :
« Deux cerveaux directement reliés aux connectiques défaillantes de machines pluggées les unes aux autres dans un fourbi de câbles, de pédales d’effets et de claviers en bout de course. En conquistadors de la fréquence grésillante, Laurent Gérard et Jo Tanz déroulent à l’infini leurs borborygmes électroniques avec de plus en plus de précision et d’acuité, renonçant temporairement à la proto-techno sidérurgique à la Esplendor Geometrico et aux BPM low-fi saturés qui caractérisaient leurs premiers faits d’armes. Fourmillant de micro-détails, Opéra Mort alterne ici entre drone chirurgical et séance d’acupuncture à la perceuse électrique, avec une sensibilité francophone qui les éloignent de tout point de repère. »